الأخ روفينو(استقبال)

توصيات

 

1. Le corps du Seigneur.

Le Seigneur Jésus dit à ses disciples : Je suis la voie, la vérité et la vie ; on ne va au Père que par moi.
Si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père ; mais bientôt vous le connaîtrez, et d'ailleurs vous l'avez déjà vu.
Philippe lui dit : Seigneur, montre-nous le Père, et cela nous suffit.
Jésus lui répondit : Il y a si longtemps que je suis avec vous, et vous ne me connaissez pas encore ? Philippe, qui me voit voit aussi mon Père.
Le Père habite une lumière inaccessible ; Dieu est esprit ; personne n'a jamais vu Dieu.
Puisque Dieu est esprit, on ne peut donc le voir que par l'Esprit, car c'est l'esprit qui fait vivre, la chair ne sert de rien.
Il en va de même pour le Fils : en tant qu'il est égal au Père, on ne peut le voir autrement que le Père, autrement que par l'Esprit.
Voilà pourquoi furent damnés tous ceux qui autrefois n'ont vu que l'homme dans le Seigneur Jésus-Christ, sans voir ni croire, selon l'Esprit et selon Dieu, qu'il est vraiment le Fils de Dieu.
Pareillement sont damnés tous ceux qui aujourd'hui leur ressemblent : ils voient bien, sous forme de pain et de vin, le sacrement du Corps du Christ, consacré sur l'autel par les mains du prêtre au moyen des paroles du Seigneur ; mais ils ne voient ni ne croient, selon l'Esprit et selon Dieu, que ce sont là réellement les très saints Corps et Sang de notre Seigneur Jésus-Christ, au témoignage du Très-Haut lui-même qui affirme : Ceci est mon Corps, et le Sang de la Nouvelle Alliance, qui sera versé pour la multitude, et encore :
Celui qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle.
L’Esprit du Seigneur : il habite en ceux qui croient en lui ; c'est donc lui qui reçoit le Corps et le Sang très saints du Seigneur.
Tous les autres, ceux qui n'ont point part à cet Esprit, s'ils ont l'audace de recevoir le Seigneur, mangent et boivent leur propre condamnation.
Race charnelle, combien de temps encore aurez-vous le coeur si dur ?
Pourquoi ne pas reconnaître la vérité ? Pourquoi ne pas croire au Fils de Dieu ?
Voyez : chaque jour il s'abaisse, exactement comme à l'heure où, quittant son palais royal, il s'est incarné dans le sein de la Vierge ; chaque jour c'est lui-même qui vient à nous, et sous les dehors les plus humbles ; chaque jour il descend du sein du Père sur l'autel entre les mains du prêtre.
Et de même qu'autrefois il se présentait aux saints apôtres dans une chair bien réelle, de même se montre-t-il à nos yeux maintenant dans du pain sacré.
Les apôtres, lorsqu'ils le regardaient de leurs yeux de chair, ne voyaient que sa chair, mais ils le contemplaient avec les yeux de l'esprit, et croyaient qu'il était Dieu.
Nous aussi, lorsque, de nos yeux de chair, nous voyons du pain et du vin, sachons voir et croire fermement que c'est là, réels et vivants, le Corps et le Sang très saints du Seigneur.
Tel est en effet le moyen qu'il a choisi de rester toujours avec ceux qui croient en lui, comme il l'a dit lui-même : Je suis avec vous jusqu'à la fin du monde.

2. Le péché de volonté propre.

Le Seigneur dit à Adam : Tu peux manger des fruits de tous les arbres ; mais ne touche pas à l'arbre de la science et du mal.
Adam avait donc le droit de manger des fruits de tous les arbres du Paradis ; tant qu'il resta dans l'obéissance, il fut sans péché.
Manger les fruits de l'arbre de la science du bien signifie : s'approprier sa volonté, s'attribuer orgueilleusement le bien que l'on fait, alors qu'en réalité c'est le Seigneur en nous qui l'accomplit en paroles ou en actes.
Mais on préfère écouter les insinuations du démon, on enfreint la défense ; alors le fruit de la science du bien se transforme en fruit de la science du mal, et il faut en subir le châtiment.

3. Obéissance parfaite et obéissance imparfaite.

Le Seigneur dit dans l'Evangile : Celui qui n'abandonne pas tout ce qu'il possède ne peut être mon disciple ; et encore : Qui veut sauver son âme doit la perdre.
Comment faire pour abandonner tout ce que l'on possède ? Comment perdre son corps et son âme ? En se livrant tout entier à l'obéissance entre les mains de son supérieur.
Tout ce que fait et tout ce que dit un sujet est acte d'obéissance véritable à deux conditions : d'une part qu'il s'agisse objectivement d'une bonne action ; d'autre part qu'on soit sûr de ne pas aller contre la volonté du supérieur.
Un sujet croit parfois sentir qu'une autre orientation serait meilleure et plus utile pour son âme que celle qui lui est imposée ; qu'il fasse à Dieu le sacrifice de son projet, et qu'il se mette en devoir d'appliquer plutôt celui du supérieur.
Voilà de la véritable obéissance, qui est aussi de l'amour ; elle contente à la fois Dieu et le prochain.
Mais si le supérieur donnait un ordre contraire au salut de notre âme, il faudrait refuser de lui obéir, sans pour autant, rompre avec lui ou le quitter.
Encourrait-on les persécutions de certains à cause de cette attitude, on ne devrait que les en aimer davantage, pour l'amour de Dieu, car celui qui, bien loin de divorcer d'avec ses frères, préfère supporter leur hostilité, celui-là reste dans l'obéissance parfaite ; l'obéissance qui va jusqu'à donner sa vie pour ses frères.
Bien des religieux, malheureusement, s'imaginent découvrir qu'il y a mieux à faire que ce qu'ordonnent leurs supérieurs ; ils regardent en arrière et retournent à leur vomissement, c'est à dire à leur volonté propre.
Ce sont des homicides, car leurs mauvais exemples sèment la mort dans beaucoup d'âmes.

4. Ne pas s'approprier les charges.

Ce n'est pas pour être servi que je suis venu, dit le Seigneur, mais pour servir.
Quand on a reçu autorité sur les autres, on ne doit pas plus en tirer gloire que si l'on était affecté à l'emploi de leur laver les pieds.
Etre plus désemparé de perdre un supériorat que de perdre l'emploi de laver les pieds, c'est amasser, comme Judas, un trésor frauduleux au péril de son âme ; et plus grand est le trouble, plus est coupable l'avarice.

5. Ne pas s'enorgueillir, mais placer sa fierté dans la croix du Seigneur.

Considère, ô homme, le degré de perfection auquel t'a élevé le Seigneur ; il a créé et formé ton corps à l'image du corps de son Fils bien-aimé, et ton esprit à la ressemblance de son esprit.
Et malgré cela, toutes les créatures qui sont sous le ciel servent leur créateur mieux que toi, elles le connaissent et lui obéissent mieux que toi, chacune selon sa nature.
Bien pis, ce ne sont pas les démons qui l'ont crucifié : c'est toi qui, avec eux, l'as crucifié et le crucifies encore en prenant plaisir au vice et au péché.
De quoi peux-tu donc bien te glorifier ?
Même si tu avais tant de pénétration et tant de sagesse qu'aucune science n'aurait plus de secret pour toi ; même si tu savais interpréter toutes les langues et scruter les mystères divins avec une subtilité remarquable, de tout cela tu ne peux tirer aucune gloire.
Le premier venu des démons a autrefois pénétré bien plus avant dans les mystères de Dieu, et connaît encore maintenant l'univers terrestre bien mieux que tous les hommes réunis (y compris celui qui reçut du Seigneur la grâce spéciale de la plus haute sagesse).
De même, serais-tu le plus beau et le plus riche des hommes, et ferais-tu même des miracles au point de chasser les démons, tout cela peut se retourner contre toi, tu n'y es pour rien, et il n'y a rien là dont tu puisses tirer gloire.
Mais ce dont nous pouvons tirer gloire, c'est de nos faiblesses. C'est de notre part quotidienne à la sainte Croix de notre Seigneur Jésus-Christ.

6. L'imitation du Seigneur.

Considérons, frères, le bon Pasteur : pour sauver ses brebis, il a souffert la Passion et la Croix.
A sa suite, les brebis du Seigneur ont marché à travers les souffrances, les persécutions, les humiliations, la faim, les maladies, les tentations, et toutes sortes d'épreuves. En retour, elles ont reçu du Seigneur la vie éternelle.
Nous devrions avoir honte, nous, les serviteurs de Dieu. Car les saints ont agi : nous, nous racontons ce qu'ils ont fait, dans le but d'en retirer pour nous honneur et gloire.

7. Savoir, mais pour mieux agir.

L'Apôtre dit : La lettre tue, mais l'esprit fait vivre.
La lettre tue ceux dont la curiosité s'arrête aux mots du texte ; ce qu'ils veulent, c'est paraître plus savants que les autres, et pouvoir acquérir ainsi de grandes richesses dont ils feront profiter leurs parents et amis.
La lettre tue les religieux qui ne veulent pas approfondir l'esprit de la sainte Ecriture, mais qui préfèrent s'en tenir uniquement à la connaissance et au commentaire des mots.
L'esprit de la sainte Ecriture fait vivre ceux qui n'attribuent pas à leur valeur personnelle la science qu'ils possèdent ou désirent posséder, mais qui, par la parole et par l'exemple, en font hommage au Très haut Seigneur Dieu à qui appartient tout bien.

8. Eviter le péché d'envie.

Sans le secours de l'Esprit-Saint, dit l'Apôtre, nul ne peut dire : Jésus est le Seigneur ; sans le secours de l'Esprit-Saint, nul, pas un seul homme, n'est capable de faire le bien.
C'est pourquoi celui qui est jaloux d'un de ses frères par l'intermédiaire duquel le Seigneur dit et fait du bien, celui-là commet un véritable blasphème : c'est au Très-Haut lui-même que sa jalousie s'en prend, puisque c'est de Dieu seul que dérivent toute bonne parole et toute bonne action.

9. L'amour des ennemis.

Aimez vos ennemis, dit le Seigneur.
Aimer vraiment son ennemi, c'est d'abord ne pas s'affliger des torts qu'on a subis soi-même ; c'est ressentir douloureusement, mais comme une offense à l'amour de Dieu, le péché que l'autre a commis ; et c'est prouver à ce dernier, par des actes, qu'on l'aime toujours.

10. Réprimer les tendances égoïstes.

A-t-on commis un péché ? C'est la faute au démon ! A-t-on subi une injustice ? C'est la faute au prochain ! Telle est l'attitude de beaucoup de chrétiens.
Mais ce n'est pas sur autrui qu'il faut rejeter la faute : l'ennemi, chacun le tient à sa discrétion, l'ennemi c'est-à-dire l'égoïsme qui fait tomber dans le péché.
Heureux dès lors le serviteur qui gardera toujours enchaîné cet ennemi livré entre ses mains et saura sagement se prémunir contre lui : tant qu'il agira de la sorte, aucun autre ennemi, visible ou invisible, ne pourra lui nuire.

11. Ne pas se laisser ravager par le péché d'autrui.

Un serviteur de Dieu ne doit éprouver de répulsion pour rien, si ce n'est pour le péché.
Et même dans ce cas, si grand que soit le péché commis, le serviteur de Dieu peu être atteint dans son amour pour Dieu offensé, mais jamais il ne doit perdre la paix de l'âme ni se mettre en colère : ce faisant, il s'attribuerait injustement un droit qui n'appartient qu'à Dieu : juger d'une faute.
Le serviteur de Dieu qui demeure inaccessible à la colère et au trouble dans ses rapports avec autrui, celui-là mène une vie conforme à sa vocation, libre de tout attachement égoïste.
Heureux celui qui ne s'arroge rien, qui rend à César ce que est à César et à Dieu ce qui est à Dieu.

12. A quoi l'on reconnaît l'Esprit du Seigneur.

Voici comment reconnaître qu'un serviteur de Dieu possède l'Esprit du Seigneur : lorsque le Seigneur opère par lui quelque bien, la "chair" du serviteur de Dieu alors, ne s'enorgueillit pas, cette chair toujours opposée à tout bien ; au contraire, il ne s'en méprise que davantage, et se juge plus indigne que tous les autres hommes.

13. La patience.

Heureux les pacifiques ; ils seront appelés fils du Dieu. Ce qu'un serviteur de Dieu possède de patience et d'humilité, on ne peut pas le savoir tant que tout va selon ses désirs.
Mais vienne le temps où ceux qui devraient respecter ses volontés se mettent au contraire à les contester : ce qu'il manifeste alors de patience et d'humilité, voilà exactement ce qu'il en possède, et rien de plus.

14. L'esprit de pauvreté.

Heureux ceux qui ont l'esprit de pauvreté, car le royaume des cieux leur appartient.
Il y en a beaucoup qui sont férus de prières et d'offices, et qui infligent à leur corps de fréquentes mortifications et abstinences.
Mais pour un mot qui leur semble un affront ou une injustice envers leur cher "moi", ou bien pour tel ou tel objet qu'on leur enlève, les voilà aussitôt qui se scandalisent et perdent la paix de l'âme.
Ceux-là n'ont pas le véritable esprit de pauvreté : car celui qui a le véritable esprit de pauvreté se hait lui-même, et chérit ceux qui le frappent sur la joue.

15. La paix de l'âme.

Heureux les pacifiques : ils seront appelés fils de Dieu.
Sont vraiment pacifiques ceux qui, malgré tout ce qu'ils ont à souffrir en ce monde, pour l'amour de notre Seigneur Jésus-Christ, gardent la paix de l'âme et du corps.

16. La pureté du coeur.

Heureux ceux qui ont le coeur pur, car ils verront Dieu.
Ont vraiment le coeur pur ceux qui méprisent les biens de la terre, cherchent ceux du ciel et, ainsi purifiés de tout attachement de l'âme et du coeur, ne cessent jamais d'adorer et de voir rien d'autre que le Seigneur Dieu vivant et vrai.

17. Humilité du serviteur de Dieu.

Heureux le serviteur qui ne se glorifie pas plus du bien que le Seigneur dit et opère par lui, que du bien que le Seigneur dit et opère par un autre.
On pèche quand on veut recevoir du prochain plus qu'on ne veut donner de soi au Seigneur Dieu.

18. Compassion pour le prochain.

Heureux l'homme qui, dans les limites de sa propre faiblesse, soutient son prochain autant qu'il voudrait être soutenu par lui dans un cas analogue.

19. Rendre tout bien au Seigneur.

Heureux le serviteur qui fait hommage de tout bien au Seigneur. Celui au contraire qui en revendique une part pour lui-même, celui-là cache au fond de lui-même l'argent du Seigneur Dieu, et ce qu'il croyait posséder en propre lui sera enlevé.

20. Humilité malgré les louanges et les honneurs.

Heureux le serviteur qui, lorsqu'on le félicite et qu'on l'honore, ne se tient pas pour meilleur que lorsqu'on le traite en homme de rien, simple et méprisable.
Car tant vaut l'homme devant Dieu, tant vaut-il en réalité, sans plus.
Malheur au religieux qui, appelé par ses frères à de hautes fonctions, refuse ensuite d'en descendre de son plein gré.
Heureux le serviteur qui, appelé malgré lui à de hautes fonctions, n'a d'autre ambition que de servir les autres et de s'abaisser sous leurs pieds.

21. La vraie et la fausse joie.

Heureux le religieux qui ne prend plaisir et joie que dans tout ce que le Seigneur a fait, et qui s'en sert pour porter les hommes à l'amour de Dieu en tout joie.
Malheur au religieux qui se plaît aux histoires légères et frivoles, et qui s'en sert uniquement pour provoquer l'hilarité.

22. Légèreté et bavardage.

Heureux le serviteur qui ne parle pas pour se faire valoir, qui ne fait pas étalage de sa valeur et qui n'est pas toujours avide de prendre la parole, mais qui s'exprime et répond avec sagesse et réflexion.
Malheur au religieux qui, au lieu de garder en son coeur les grâces dont le Seigneur le favorise, et au lieu d'en faire profiter les autres par ses actions, s'empresse en discours de les étaler aux yeux des hommes pour se faire valoir.
Il en obtient la mesquine récompense qu'il convoitait, mais ceux qui l'écoutent n'en retirent que peu de fruit.

23. Acceptation des reproches.

Heureux le serviteur qui supporte avec autant de patience que s'il se les infligeait lui-même, les avertissements, accusations et réprimandes infligés par autrui.
Heureux le serviteur qui, lorsqu'il est repris, reconnaît facilement ses torts, cède volontiers, avoue humblement et répare de bon coeur.
Heureux le serviteur qui n'est pas prompt à s'excuser, et qui supporte humblement la honte d'être réprimandé pour une faute qu'il n'a pas commise.

24. La vraie humilité.

Heureux celui que l'on trouve aussi humble au milieu de ses sujets que s'il était au milieu de ses supérieurs.
Heureux le serviteur qui reste toujours disposé à accueillir remarques et punitions.
Fidèle et prudent serviteur, celui qui, chaque fois qu'il en a offensé un autre, ne tarde pas à expier cet écart, intérieurement par le regret, extérieurement par l'aveu de sa faute et par des actes concrets de réparation.

25. L'amour fraternel.

Heureux celui qui aimerait autant un frère malade et incapable de lui rendre service, qu'un frère bien portant qui peut lui être utile.
Heureux celui qui aimerait et respecterait autant son frère quand il est loin de lui que lorsqu'il est avec lui, et qui ne dirait pas derrière son frère ce qu'en toute charité il ne pourrait pas dire devant lui.

26. Honorer les clercs.

Heureux le serviteur qui donne sa foi aux clercs qui vivent en accord avec l'enseignement et les institutions de la sainte Eglise romaine.
Et malheur à ceux qui les méprisent : nul n'a le droit de juger les clercs, même pécheurs ; c'est le Seigneur qui se réserve de les juger lui-même et lui seul.
En effet, ils sont ministres des très saints Corps et Sang de notre Seigneur Jésus-Christ ; c'est pourquoi, autant leur ministère surpasse les autres ministères, autant une faute contre eux surpasse en gravité une faute contre n'importe quel autre fidèle de ce monde.

27. Les vertus chassent les vices.

Où règnent charité et sagesse, il n'y a ni crainte ni ignorance.
Où règnent patience et humilité, il n'y a ni colère ni trouble
Où règnent pauvreté et joie, il n'y a ni cupidité ni avarice.
Où règnent paix intérieure et méditation, il n'y a ni désir de changement ni dissipation.
Où règne crainte du Seigneur pour garder la maison, l'ennemi ne peut pratiquer nulle brèche pour y pénétrer.
Où règnent miséricorde et discernement, il n'y a ni luxe superflu ni dureté du coeur.

28. Discrétion sur les grâces de Dieu, de peur de les perdre.

Heureux le serviteur qui amasse, mais dans le ciel, le trésor de grâces que le Seigneur lui offre et qui ne cherche pas, pour se faire valoir, à les manifester aux hommes ; car c'est le Très-Haut lui-même, qui manifestera ses propres oeuvres à qui il lui plaira.
Heureux le serviteur qui conserve en son coeur les secrets du Seigneur.

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منفذاً من www.edevint.fr رسم من Laurent Bidot ترجمة : Myrna Lebertre